
« Je suis en relation avec moi-même. »
« Je suis en relation avec moi-même. »

« Je suis en relation avec moi-même. »
Une phrase simple, universelle,
mais qui résonne rarement avec pleine conscience.
Car vivre avec soi ne signifie pas se connaître.
Car cette relation intérieure est une structure —
mouvante, silencieuse, essentielle.
Relationshape est un système de création générative,
né de l’intime, où les émotions deviennent lignes,
où les silences prennent forme.
Une phrase simple, universelle,
mais qui résonne rarement avec pleine conscience.
Car vivre avec soi ne signifie pas se connaître.
Car cette relation intérieure est une structure —
mouvante, silencieuse, essentielle.
Relationshape est un système de création générative,
né de l’intime, où les émotions deviennent lignes,
où les silences prennent forme.
Une phrase simple, universelle,
mais qui résonne rarement avec pleine conscience.
Car vivre avec soi ne signifie pas se connaître.
Car cette relation intérieure est une structure —
mouvante, silencieuse, essentielle.
Relationshape est un système de création générative,
né de l’intime, où les émotions deviennent lignes,
où les silences prennent forme.

Il ne mesure pas.
Il ne classe pas.
Il pose des questions.
Il ne mesure pas.
Il ne classe pas.
Il pose des questions.

Il ne mesure pas.
Il ne classe pas.
Il pose des questions.
Sur le repli et l’élan, sur l’attente, l’évitement, le trop-dit.
Que se passe-t-il quand je ressens sans dire ?
Pour qui ai-je retenu les mots ?
Pour qui ai-je trop parlé ?
Avant de nommer l’amour ou la peur,
mon corps savait-il déjà ?
Sur le repli et l’élan, sur l’attente,
l’évitement, le trop-dit.
Que se passe-t-il quand je ressens sans dire ?
Pour qui ai-je retenu les mots ?
Pour qui ai-je trop parlé ?
Avant de nommer l’amour ou la peur,
mon corps savait-il déjà ?
Sur le repli et l’élan, sur l’attente, l’évitement, le trop-dit.
Que se passe-t-il quand je ressens sans dire ?
Pour qui ai-je retenu les mots ?
Pour qui ai-je trop parlé ?
Avant de nommer l’amour ou la peur,
mon corps savait-il déjà ?

Je me suis pliée pour convenir,
recroquevillée pour retarder l’éclat.
Je me suis pliée pour convenir,
recroquevillée pour retarder l’éclat.

Je me suis pliée pour convenir,
recroquevillée pour retarder l’éclat.
Tes réponses esquissent un rythme.
Le système capte tensions et silences, les traduit en coordonnées —
des points, des lignes verticales, tremblantes, croisées.
Comme nos désirs, nos résistances.
Nos élans, nos absences.
Ces lignes forment des cartes intérieures.
Je les assemble, je les plie, je les couds.
Elles deviennent sacs :
froissés, torsadés, viscéraux.
Tes réponses esquissent un rythme.
Le système capte tensions et silences, les traduit en coordonnées —
des points, des lignes verticales, tremblantes, croisées.
Comme nos désirs, nos résistances.
Nos élans, nos absences.
Ces lignes forment des cartes intérieures.
Je les assemble, je les plie, je les couds.
Elles deviennent sacs :
froissés, torsadés, viscéraux.
Tes réponses esquissent un rythme.
Le système capte tensions et silences, les traduit en coordonnées —
des points, des lignes verticales, tremblantes, croisées.
Comme nos désirs, nos résistances.
Nos élans, nos absences.
Ces lignes forment des cartes intérieures.
Je les assemble, je les plie, je les couds.
Elles deviennent sacs :
froissés, torsadés, viscéraux.

On y voit des intestins, des organismes marins.
On y voit des intestins, des organismes marins.

On y voit des intestins, des organismes marins.
Ce n’est pas une image.
C’est un retour à l’origine.
J’aime l’idée des « intestins » :
avant que le cerveau dise « je t’aime », le ventre l’avait déjà senti.
L’intestin est un second cerveau.
Il perçoit le monde avant les mots.
Il reconnaît le lien, la peur, le désir.
Alors j’ai façonné cette relation en forme, en structure à porter, en langage à habiter.
Ce n’est pas une image.
C’est un retour à l’origine.
J’aime l’idée des « intestins » :
avant que le cerveau dise « je t’aime », le ventre l’avait déjà senti.
L’intestin est un second cerveau.
Il perçoit le monde avant les mots.
Il reconnaît le lien, la peur, le désir.
Alors j’ai façonné cette relation en forme, en structure à porter, en langage à habiter.
Ce n’est pas une image.
C’est un retour à l’origine.
J’aime l’idée des « intestins » :
avant que le cerveau dise « je t’aime », le ventre l’avait déjà senti.
L’intestin est un second cerveau.
Il perçoit le monde avant les mots.
Il reconnaît le lien, la peur, le désir.
Alors j’ai façonné cette relation en forme, en structure à porter, en langage à habiter.

La relation devient tangible.
La relation devient tangible.

La relation devient tangible.
Elle ne se subit plus : on la voit, on la touche, on la redéfinit.
Elle ne se subit plus :
on la voit, on la touche,
on la redéfinit.
Elle ne se subit plus : on la voit, on la touche, on la redéfinit.

Relationshape,
c’est une émotion transformée,
une ligne qui respire, un sac, un espace, un regard courbé vers soi.
Relationshape,
c’est une émotion transformée,
une ligne qui respire, un sac, un espace, un regard courbé vers soi.

Relationshape,
c’est une émotion transformée,
une ligne qui respire, un sac, un espace, un regard courbé vers soi.
Ce questionnaire ne mesure pas, ne juge pas, ne classe pas.
Il ne prend pas ta place, ne t’impose aucune identité.
Il ne fait que poser des questions —
sur comment nous approchons,
comment nous reculons,
comment nous attendons,
et comment nous exprimons.
C’est un dialogue intérieur structurant,
une manière de te regarder autrement.
Chaque réponse est le début d’une ligne,
une impulsion déjà venue, déjà disparue,
silencieuse, mais marquée sur la carte.
Ces traces se croisent lentement,
certaines s’entrelacent, d’autres restent seules,
comme des trajectoires parcourues, jamais exprimées.
À la fin, tu verras une image.
Ce n’est pas une conclusion,
mais la forme que prend ton état d’aujourd’hui.
Ta relation avec toi-même a trouvé une forme.
Ce questionnaire ne mesure pas, ne juge pas, ne classe pas.
Il ne prend pas ta place, ne t’impose aucune identité.
Il ne fait que poser des questions —
sur comment nous approchons,
comment nous reculons,
comment nous attendons,
et comment nous exprimons.
C’est un dialogue intérieur structurant,
une manière de te regarder autrement.
Chaque réponse est le début d’une ligne,
une impulsion déjà venue, déjà disparue,
silencieuse, mais marquée sur la carte.
Ces traces se croisent lentement,
certaines s’entrelacent, d’autres restent seules,
comme des trajectoires parcourues, jamais exprimées.
À la fin, tu verras une image.
Ce n’est pas une conclusion,
mais la forme que prend ton état d’aujourd’hui.
Ta relation avec toi-même a trouvé une forme.
Ce questionnaire ne mesure pas, ne juge pas, ne classe pas.
Il ne prend pas ta place, ne t’impose aucune identité.
Il ne fait que poser des questions —
sur comment nous approchons,
comment nous reculons,
comment nous attendons,
et comment nous exprimons.
C’est un dialogue intérieur structurant,
une manière de te regarder autrement.
Chaque réponse est le début d’une ligne,
une impulsion déjà venue, déjà disparue,
silencieuse, mais marquée sur la carte.
Ces traces se croisent lentement,
certaines s’entrelacent, d’autres restent seules,
comme des trajectoires parcourues, jamais exprimées.
À la fin, tu verras une image.
Ce n’est pas une conclusion,
mais la forme que prend ton état d’aujourd’hui.
Ta relation avec toi-même a trouvé une forme.
Tu n’es pas ce que tu dis. Tu es ce que tes mots n’ont jamais pu dire.
Tu n’es pas ce que tu dis. Tu es ce que tes mots n’ont jamais pu dire.
Tu n’es pas ce que tu dis. Tu es ce que tes mots n’ont jamais pu dire.
A relationship is not the answer, but the shape a question leaves behind.
A relationship is not the answer, but the shape a question leaves behind.