
« Je suis en relation avec moi-même. »
Une phrase simple, universelle,
mais qui résonne rarement avec pleine conscience.
Car vivre avec soi ne signifie pas se connaître.
Car cette relation intérieure est une structure —
mouvante, silencieuse, essentielle.
Relationshape est un système de création générative,
né de l’intime, où les émotions deviennent lignes,
où les silences prennent forme.
« Je suis en relation avec moi-même. »
Une phrase simple, universelle,
mais qui résonne rarement avec pleine conscience.
Car vivre avec soi ne signifie pas se connaître.
Car cette relation intérieure est une structure —
mouvante, silencieuse, essentielle.
Relationshape est un système de création générative,
né de l’intime, où les émotions deviennent lignes,
où les silences prennent forme.

« Je suis en relation avec moi-même. »
Une phrase simple, universelle,
mais qui résonne rarement avec pleine conscience.
Car vivre avec soi ne signifie pas se connaître.
Car cette relation intérieure est une structure —
mouvante, silencieuse, essentielle.
Relationshape est un système de création générative,
né de l’intime, où les émotions deviennent lignes,
où les silences prennent forme.
“I am in a relationship with myself.”
A sentence anyone could say,
yet few take the time to truly feel:
To live with oneself is not to know the self. This inner bond is a structure — subtle, shifting, essential.
Relationshape is a generative system,
born from the interior, where emotions take shape,
where silence becomes form.
“I am in a relationship with myself.”
A sentence anyone could say,
yet few take the time to truly feel:
To live with oneself is not to know the self. This inner bond is a structure — subtle, shifting, essential.
Relationshape is a generative system,
born from the interior, where emotions take shape,
where silence becomes form.
“I am in a relationship with myself.”
A sentence anyone could say,
yet few take the time to truly feel:
To live with oneself is not to know the self. This inner bond is a structure — subtle, shifting, essential.
Relationshape is a generative system,
born from the interior, where emotions take shape,
where silence becomes form.

Il ne mesure pas.
Il ne classe pas.
Il pose des questions.
Sur le repli et l’élan, sur l’attente, l’évitement, le trop-dit.
Que se passe-t-il quand je ressens sans dire ?
Pour qui ai-je retenu les mots ?
Pour qui ai-je trop parlé ?
Avant de nommer l’amour ou la peur,
mon corps savait-il déjà ?
Il ne mesure pas.
Il ne classe pas.
Il pose des questions.
Sur le repli et l’élan, sur l’attente, l’évitement, le trop-dit.
Que se passe-t-il quand je ressens sans dire ?
Pour qui ai-je retenu les mots ?
Pour qui ai-je trop parlé ?
Avant de nommer l’amour ou la peur,
mon corps savait-il déjà ?

Il ne mesure pas.
Il ne classe pas.
Il pose des questions.
Sur le repli et l’élan, sur l’attente,
l’évitement, le trop-dit.
Que se passe-t-il quand je ressens sans dire ?
Pour qui ai-je retenu les mots ?
Pour qui ai-je trop parlé ?
Avant de nommer l’amour ou la peur,
mon corps savait-il déjà ?
It does not measure, does not judge, does not sort. It asks.
About closeness and distance, about waiting, about too much, about too little.
What stirs when I feel but do not speak?
For whom did I hold back?
For whom did I overflow?
Before I could name love or fear, did my body already know?
It does not measure, does not judge, does not sort. It asks.
About closeness and distance, about waiting, about too much, about too little.
What stirs when I feel but do not speak?
For whom did I hold back?
For whom did I overflow?
Before I could name love or fear, did my body already know?
It does not measure, does not judge, does not sort. It asks.
About closeness and distance, about waiting, about too much, about too little.
What stirs when I feel but do not speak?
For whom did I hold back?
For whom did I overflow?
Before I could name love or fear, did my body already know?

Je me suis pliée pour convenir,
recroquevillée pour retarder l’éclat.
Tes réponses esquissent un rythme.
Le système capte tensions et silences, les traduit en coordonnées —
des points, des lignes verticales, tremblantes, croisées.
Comme nos désirs, nos résistances.
Nos élans, nos absences.
Ces lignes forment des cartes intérieures.
Je les assemble, je les plie, je les couds.
Elles deviennent sacs :
froissés, torsadés, viscéraux.
Je me suis pliée pour convenir,
recroquevillée pour retarder l’éclat.
Tes réponses esquissent un rythme.
Le système capte tensions et silences, les traduit en coordonnées —
des points, des lignes verticales, tremblantes, croisées.
Comme nos désirs, nos résistances.
Nos élans, nos absences.
Ces lignes forment des cartes intérieures.
Je les assemble, je les plie, je les couds.
Elles deviennent sacs :
froissés, torsadés, viscéraux.

Je me suis pliée pour convenir,
recroquevillée pour retarder l’éclat.
Tes réponses esquissent un rythme.
Le système capte tensions et silences, les traduit en coordonnées —
des points, des lignes verticales, tremblantes, croisées.
Comme nos désirs, nos résistances.
Nos élans, nos absences.
Ces lignes forment des cartes intérieures.
Je les assemble, je les plie, je les couds.
Elles deviennent sacs :
froissés, torsadés, viscéraux.
I bent myself to fit, curled inward to delay expression.
Your replies draw a rhythm.
The system listens to tension and pause, translates them into points, into lines:
vertical, trembling, solitary, intertwined.
Like our invisible movements: desire and resistance, nearness and escape. These lines form internal maps.
I gather them, fold them, and sew them into bags — wrinkled, coiled, visceral.
I bent myself to fit, curled inward to delay expression.
Your replies draw a rhythm.
The system listens to tension and pause, translates them into points, into lines:
vertical, trembling, solitary, intertwined.
Like our invisible movements: desire and resistance, nearness and escape. These lines form internal maps.
I gather them, fold them, and sew them into bags — wrinkled, coiled, visceral.
I bent myself to fit, curled inward to delay expression.
Your replies draw a rhythm.
The system listens to tension and pause, translates them into points, into lines:
vertical, trembling, solitary, intertwined.
Like our invisible movements: desire and resistance, nearness and escape. These lines form internal maps.
I gather them, fold them, and sew them into bags — wrinkled, coiled, visceral.

On y voit des intestins, des organismes marins.
Ce n’est pas une image.
C’est un retour à l’origine.
J’aime l’idée des « intestins » :
avant que le cerveau dise « je t’aime », le ventre l’avait déjà senti.
L’intestin est un second cerveau.
Il perçoit le monde avant les mots.
Il reconnaît le lien, la peur, le désir.
Alors j’ai façonné cette relation en forme, en structure à porter, en langage à habiter.
On y voit des intestins, des organismes marins.
Ce n’est pas une image.
C’est un retour à l’origine.
J’aime l’idée des « intestins » :
avant que le cerveau dise « je t’aime », le ventre l’avait déjà senti.
L’intestin est un second cerveau.
Il perçoit le monde avant les mots.
Il reconnaît le lien, la peur, le désir.
Alors j’ai façonné cette relation en forme, en structure à porter, en langage à habiter.

On y voit des intestins, des organismes marins.
Ce n’est pas une image.
C’est un retour à l’origine.
J’aime l’idée des « intestins » :
avant que le cerveau dise « je t’aime », le ventre l’avait déjà senti.
L’intestin est un second cerveau.
Il perçoit le monde avant les mots.
Il reconnaît le lien, la peur, le désir.
Alors j’ai façonné cette relation en forme, en structure à porter, en langage à habiter.
They resemble intestines, sea creatures. Not by metaphor, but by memory.
I embrace the image of the “intestine”:
because before our minds learned "I love you", our gut had already felt it.
The gut is a second brain. It senses before thought.
It knows longing and withdrawal. I turned that knowledge, into a visible form, a wearable structure, a language the body remembers.
They resemble intestines, sea creatures. Not by metaphor, but by memory.
I embrace the image of the “intestine”:
because before our minds learned "I love you", our gut had already felt it.
The gut is a second brain. It senses before thought.
It knows longing and withdrawal. I turned that knowledge, into a visible form, a wearable structure, a language the body remembers.
They resemble intestines, sea creatures. Not by metaphor, but by memory.
I embrace the image of the “intestine”:
because before our minds learned "I love you", our gut had already felt it.
The gut is a second brain. It senses before thought.
It knows longing and withdrawal. I turned that knowledge, into a visible form, a wearable structure, a language the body remembers.

La relation devient tangible.
Elle ne se subit plus : on la voit, on la touche, on la redéfinit.
La relation devient tangible.
Elle ne se subit plus : on la voit, on la touche, on la redéfinit.

La relation devient tangible.
Elle ne se subit plus :
on la voit, on la touche,
on la redéfinit.
This relationship becomes tangible. No longer just endured — but seen, held, redefined.
This relationship becomes tangible. No longer just endured — but seen, held, redefined.
This relationship becomes tangible. No longer just endured — but seen, held, redefined.

Relationshape,
c’est une émotion transformée,
une ligne qui respire, un sac, un espace, un regard courbé vers soi.
Relationshape,
c’est une émotion transformée,
une ligne qui respire, un sac, un espace, un regard courbé vers soi.

Relationshape,
c’est une émotion transformée,
une ligne qui respire, un sac, un espace, un regard courbé vers soi.
Relationshape is an emotion, a diagram of the self, a folded space, a tension in motion.
Relationshape is an emotion, a diagram of the self, a folded space, a tension in motion.
Relationshape is an emotion, a diagram of the self, a folded space, a tension in motion.